MaxusAmitiéOh ! femme … Ce qui vient te voir Ce n’est point le désespoir Mais un mot si doux Qui te parle d’amour ! Elle connaît la tendresse Elle, qui sait te dire Pourquoi pleurs-tu ? Aux vagues renaissantes Elle t’attire sans peine A sa démarche, le vent n’ose l’approcher Il frôle les horizons Mais ne peut l’aborder Elle sait calmer les tempêtes Et se relève sans mal Un ciel si pur Oh ! beauté charnelle Oh ! beauté éternelle Tu hantes nos corps Tu embrases nos amours Tu nous emmènes si loin Des charmes d’un jour Ne demande plus nos désirs Ne parle plus de larme Car à nos corps déchus Tu détiens notre infinie pensée Elle envoûte nos souvenirs Elle réveille les traits d’un savoir Elle connaît la tendresse Elle, qui sait te dire Pourquoi pleurs-tu ? Aux vagues renaissantes Elle t’attire sans peine Mais à ces jours éphémères Tu t’éloignes et tu voles De nos cœurs bouillonnants Nuls océans, Ne peut éteindre le feu de nos amours Belle des jours te voilà parti Oh ! larme, insensé d’être Tu sais sécher nos maux certains MAXUS Amour impossible Tu voyages, chaque matin Tu avances d'un regard de désir Je reconnais ton sourire de passion Oh! Sentiment que veux-tu? Mais orgueil que veux-tu? N'entraînes pas ton monde à l'envie Il est si beau d'aimer, si pur de donner Recevoir : c'est le bonheur parfait. Mais quand est-il de l'amour? Oublies-tu ton alliance! Misère d'esprit, douleur charnelle De céder j'en ai la haine Et d'un cœur qui s'anime Nul ne peut remédier, que faire! Mais après tentation, tout va à s'évanouir, On ne cherche plus à s'aimer, mais à se haïr Et tout s'oublie charnellement. Au fond, personne ne veut oublier un désir consommé On a gâché l'amitié offerte par la terre. MAXUS FLEUR DU BIEN Un ciel dégagé sans nuage mais, Odeur des prés fleuris Embaumaient la nature. Beauté sans fin, toi qui vivais, Toi qui connais tout parmi, Cette faune pleine d'harmonie, Et de plaisirs, ton regard, ta joie Montrent comment tu aimes la beauté. Rien ne ressemble à ton visage parfait, De trait fin et irremplaçable. Aucune comparaison à la nature, Mais, seul il resplendit Comme le rayon du soleil que voici ! Il brille dans l'air bien uniforme, Et traversant tous les astres, Rien ne l'empêche de percevoir toutes choses. C'est ton visage, rien ne l'arrête, Pour émerveillé tout être charmé. L'excellence de ton âme L'excellence de tes paroles, Tout ceci ressemble à une fleur qui pousse, Dans la joie et le bonheur, c'est la fleur du bien, De la beauté et de l'innocence. MAXUS OUBLIER C'EST PENSER "Vouloir oublier quelqu'un, c'est y penser. L'amour a cela de commun avec les scrupules, qu'il s'aigrit par les réflexions et les retours que l'on fait pour s'en délivrer. Il faut, s'il se peut, ne point songer à sa passion pour l'affaiblir " a dit La Bruyère. Un dernier mot avant de partir Un dernier souvenir avant un plénier oubli, Je marchais ça et là, parmi la bruyère garnie Et par cette fleur cyclamen te voir et te sentir. Je montais une colline embellie Quand je trouvais un endroit dégagé, Je m'asseyais avec liberté A l'ombre d'une haute haie fleurie. Un petit sentier m'entourait Comme la solitude m'environne, Seul elle me conduisait, bonne Pensée qui ne peut que rêver ; elle le sait. Soudainement mon cœur a battu, Il a senti un autre environnement, peut-être d'espoir, Je levais ma tête vers le ciel, et, à mes yeux, apercevoir Dans l'horizon, ton profil qui a paru. C'était toi, d'un long et loin voyage Revenue d'une éternelle illusion, à la réalité, Tu étais là, à mon esprit enthousiasmé, Celle que j'avais imaginée, de cet âge. La pureté de ton visage, la finesse de ton trait M'emportait dans un rêve sans fin, Je savais que tu existais ; enfin Tu m'apparaissais comme un tableau parfait. Un vent dans la colline s'est levé Tes cheveux bruns flottaient, libre et plaisant Ton visage rayonnait comme au soleil couchant Toi, du crépuscule à l'aurore, belle tu es resté. Et l'astre Vénus, la plus belle perle des Océans des nuits, que tu représentes Avant aujourd'hui et après, tu es la même, à jamais tu subsistes, Tu n'as point métamorphosé ta vie Ta personne sera à toujours, aussi belle, comme la jacinthe de la prairie. MAXUS Radieuse aurore Soleil ! Soleil ! Montre la lueur de tes rayons ! Tu montres avec merveille Du fond de l'horizon. Tu éclaires la terre D'une grande clarté, Tu illumines la mer Et toutes les contrées. MAXUS TU COMPRENDRAS J'essaye et je veux parler par des mots sûrs, Des mots qui expriment la vérité de ma parole, Que tu dois comprendre et non deviner ! Ma bouche prononce des paroles, Que personnes d'autres peut exprimer, Mes lèvres n'ont jamais goûté l'horreur et la mort. Elles sont douces comme des chairs de paix Uniforme comme je peux le constater. Ma volonté n'a qu'un but : garder l'innocence. Lorsque je demeure j'essaye de te dire: Des sentiments inconnus. Mais soit, je ne peux que te le dire franchement; Non! mes lèvres n'ont jamais goûté à la mort, Le tourment, elles sont aussi pures que mon sang, Donner d'une naissance, sans reproche. Je garde ma vie et je ne peux point humilier Des milliers de génération, une honte faite d'un jour, Peut devenir éternel. La vie est mieux que ça, Se gâcher par des plaisirs ingrat et impardonnable; Ecoute plutôt le chant merveilleux, Le vrai oiseaux, il vole sur des milliers de kilomètres Voulant découvrir le monde : son rêve. Mais voyant la fatigue, décide, Volontairement d'abandonner sa course. Il essaye tout de même de faire vivre son courage, Il fait vivre se rêve et éloigne sa faiblesse; Mais le rêve n'est qu'un rêve, l'apparence n'est que l'apparence Il ne faut se laisser séduire par une tentation. J'aime montrer mon affection et la vraie amitié, L'amitié n'est pas si simple, L'amitié se confond à l'amour : confiance. Elle est de la sorte. Assis en haut d'une colline, je regarde en bas, Une vallée me regarde, juste un rayon du soleil Passait à travers un nuage qui était simplement: Du brouillard ; ainsi je pu voir l'effet. Le brouillard s'abattait dans la vallée, Toujours d'une extrême lenteur, Prenant place parmi les arbres et plantes, petits et jeunes. Le brouillard, passant et repassant sur les feuille Donne le nécessaire à toutes les vies. La vie s'anime, la nature fleurie Et prend toutes les formes d'une beauté parfaite. La paix, la joie et le bonheur, tout se fait sentir Parmi la diversité des éléments. Le brouillard s'est installé et y reste, Encore pour longtemps peut-être. Il domine dans la prairie, et montre, Qu'il a une importance ! Personne ne peut l'enlever, Nous serons obligés de passer, Au travers, ne sachant point sortie. Ainsi pendant ce parcours, Quelque chose sera une obsession La fin de l'invisible et du tourment. Arriver, nous avons presque conquit La peur, et même pu résoudre : Ambiguïtés avec soi-même, le cheminement. La fin du brouillard, c'est la liberté de soi-même La sensation de vie et non de mort MAXUS
LoveFeelings It’s like a dream I can read, I can love your words, I can touch the way from your face But it does change nothing, This picture from you knows my mind Cos' it finds out my heart, When I am sad, when I weep Even in this world that gives me its help Even the humans that I meet Nobody can dry my tears as you do, A new life completes my heart It lives and it can think of you Whenever you want to go, There where you wants to go I am never far from you Cos' our life is like a paradise Where earth and sky are in harmony. MAXUS A Friend , (A)ccepts you as you are (B)elieves in "you" (C)alls you just to say "HI" (D)oesn't give up on you (E)nvisions the whole of you (even the unfinished parts) (F)orgives your mistakes (G)ives unconditionally (H)elps you (I)nvites you over (J)ust "be" with you (K)eeps you close at heart (L)oves you for who you are (M)akes a difference in your life (N)ever Judges (O)ffers support (P)icks you up (Q)uiets your fears (R)aises your spirits (S)ays nice things about you (T)ells you the truth when you need to hear it (U)nderstands you (V)alues you (W)alks beside you (X)-plain things you don't understand (Y)ells when you won't listen and (Z)aps you back to reality
MeetDon’t fly so far The clouds move in the silence The birds fly in the sky Nothing is so stranger than the day But my heart has never forgotten you I try to fly so far I try to go so far again I would like to achieve another aim I would like changing my thoughts Because I’d like forgetting your smile But I can’t think of you anymore My heart doesn’t stop crying I walk in order to touch a new way Maybe I’ll find a way out everywhere Yet I don’t fly so far Don’t forget me in your way! Don’t forget my painful Don’t forget my tears, which don’t stop But I am alone! Who can dry my tears of sadness! Don’t fly so far, please I‘ll be never able to live again That’s not a life without you You know how tell me what is the paradise Yet it’s not a paradise now Yet there is none harmony in bottom of my heart now Come again, Come back baby, please … MAXUS No so far You are so far From my heart More I don't hear you More you are so far From my heart. My pain enjoys in my mind My heart is weeping He wants you to tell many things But he can't understand your mind Why your silence is being ? I have a few qualms He tells nothing, not even sound He only can look at your wonderful face Few words will be our hope Yet, our hearts are waiting Tell me, tell me, why we have to suffer to love And some quarrels finished Maybe our hearts will be happy And Oceans would be quiet And they don't hear our tears MAXUS
RencontreRencontre Sur le gravier gris, Ils se sont vus, Nul ne tombe dans l'oubli, D'un cœur qui s'est tu. Peut-être partiront-ils Sans jamais s'avouer La flamme de leur cœur meurtri Dès leur premier regard échangé. Peut-être que, sans y penser, Leurs cœurs crieront: L'amour qu'ils ont, Et qu'ils ne pourront effacer. Et ces deux cœurs Eloignés par douleur N'uniront jamais leur bonheur Leurs vies, leur passé, leur malheur. MAXUS SABRINA Lorsque je m'endormais, Le ciel et la terre s'ébranlaient en cohue, Dans l'horizon tu es apparue, Dans l'horizon tu existais. Je te voyais venir Par pas certains et lents, Mais, je ne pouvais plus attendre, Je voulais me cacher, m'enfuir. Tu viens te figer dans mon âme, Tu es si belle, si magnifique, Tu portes la perle de l'infini, Celle qui réveille la splendeur. Oh! Sabrina, ton sourire, tes soupirs, Ton regard endors ma solitude, Ils enflent les élans de mon coeur, Je m'en réjouis, je peux sortir. Je voudrais connaître tes pensées, Mais je ne peux pas le faire, Je voudrais tout connaître, Mais je ne peux pas m'avancer. Oh! Sabrina ne me nomme pas, Je ne saurais si c'est pour de la haine, Je ne saurais si c'est pour de l'amour, Tu t'es ancrée dans mon coeur, ne voyage pas. Aurais-je peur de ton exil ? Aurais-je peur de ton passage ? Dans cet horizon tu n'es que nuage, Sans doute seule pour un temps d'asile. Mon horizon s'efface, Tu es passée loin de moi, Je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerais Le temps qu'il faut, pour te voir disparue. Mon être s'assoupit, en moi, Ton retour, peut être un jour ou bien pourra; Et surtout, on se reverra; Dans l'abîme, tu vivras toujours, pour moi. MAXUS Mon éblouissement éternel. Quand tu marchais sur le sable blond Dans ces vallées uniformes, où tes cheveux blond Flottant doucement dans ce vent impétueux Tu regardais aux alentours d'un regard merveilleux D'un regard doux et précieux. Viens! mon âme se croyait perdue, Mais tu n'est point une personne perdue. Tu es une personne à qui l'on doit de l'estime Qui ne doit pas être pour cela une victime, De faux amour. Ta beauté me ranime le cœur Tes traits subliment me touche le cœur. Rien ne m'échappe, rien de ta beauté N'est passé autre que sur mes yeux émerveillés Tu es belle dans ces traits que tu portes. Quand je te vois marcher sur le banc de sable La mer m'inspire, et me donne de toi une admirable Personne, Il n'y a que toi que je vis Et aujourd'hui c'est tout, c'est fini. Ce que je vais vivre se sera une vie merveilleuse. Quand je te regarde, dans ton minois harmonieux, Je me sens marcher dans un chemin merveilleux, Eblouissant de beauté sans fin. Comme toi, je fais allusion aux forêts éclairées le matin, D 'un soleil éclatant et resplendissant comme ton visage. Tu es belle, tu me fais mourir de joie, D'avoir comme future une si charmante personne comme toi; De pouvoir aimer où être aimé comme je le voulais. De pouvoir te dire que je pleurais quand je te regardais; Sur la photo qui me donnait ton visage comme il le valait. Quand je te vois partir de ce pas paisible Mon âme perd courage devant cette porte visible J 'essaie de passer et de me rappeler l'instant passé Et me souvenir toute ma vie de ce qui m'est resté De cet instant qui, peut-être me restera éternellement. Tu me rappelle le bonheur, Sans toi je ne saurais pas vivre, je serais dans le malheur. Tu es là, tu me console de mes chagrins, Qui me tourmentent à chaque moment, et à la fin Des jours qui passent, enfin je commence à croire que voici me future. MAXUS
MAXUS
SonnetSœur dit en cœur Belle est la fleur des temps, et beau jour à venir, Aux prairies, coquelicots, ici ils s’embrasent, Au son de la trompette, où nos forêts s’arrosent, Au son des cornemuses s’embrassent l’avenir. Oh ! que je t’aime bien, or doux et trait magique, Et bruyère de nos clavecins enchanteurs, Joue-toi piano, naissant toi magnifique, Ah ! Ombre éclairée à ces jours des labeurs. Un lion mugit fort, cache ton carquois femme, Née inépuisable de secret tout en flamme, Vante une vie nouvelle, et déjà si longtemps. Crescendo, et vas toi, et des milliers de temps C’est si simple une vie si pleine de bonheur Vie simple, tu vois, tu sais, pourquoi sœur dit en cœur MAXUS Où donc pensée ! Toi fleur ouvres-toi et, parles donc toi mignonne, Racine qu’as-tu à dire si c’est la vie ! Peux-tu me supporter, toi doux courant d’envie, Non guère déjà seul, et rien s’abandonne. Racine supporte déjà un poids sans ombre, Déjà seul voisin subit le pollen au vent, Sais-tu toi perle des bois, majestueusement, Au son des doux violons, d’une berceuse sombre. - A toi belle abeille ne me butine point, A toi belle abeille va rien ne te retient, Cours-toi, et vas-toi, vite au chant sourd d’un accord Eh ! Si chère créature où est ici l’accord ? Il va çà et là c’est, le parfum du bonheur C’est le chemin juste d’amour et de pudeur MAXUS Pourquoi dire non Sais-tu à ton regard, sais-tu à ton sourire, Comment ferais-je pour oublier ce souvenir, D’un cœur qui nous berce, petite chanson encore, Ces jeunes bras nous serrent, muet on dit et encore. Chacune de nos pensées se tourne vers toi, Oh ! Maman qu’as-tu donné à nos jeunes cœurs ? Qu’as-tu offert à nos vie ? Grande chose en moi, Oh ! Dieu seul le sait, et il connaît nos heures. - Au plus bruyant moment, nul oublie ces genoux, Tous ces petits câlins, de tous ces grands joujoux Qui nous ont amenés, dans la vie à ces jours. On peut partir si loin, si loin dans les détours, Mais les profondes pensées ne sont que de deux, Toi, maman et d’un amour éternel en eux. MAXUS Reviens Ombre Oh! toi flamme des temps, tu t'embrases et tu voles, Loin des Océans et des terres, et tu t'envoles, Tu ne connais qu'un nom, non celui de l'horreur, Pourquoi pars-tu au delà pour meurtrir un cœur? Oh! temps revient de l'ombre comme de mois d'août, Mon cœur si fade, et cependant il perd son goût, Il ne connaît plus la tâche de son amour, Mais seul le flambeau mouvant du chagrin d'amour. Es-tu si loin que tu n'entends point mon soupir! De dépit, veux-tu par là en faire mourir? Par un choix, veux-tu chagriner un cœur perdu? - Oh! temps réveille les charmes d'un temps absolu, Un sommeil fixe des instants si merveilleux, A cultiver un destin et si douloureux. MAXUS L'intouchable Au delà de l'enfer, elle n'oublie pas, Amour fou et passion, infini éphémère, Pour se donner à lui, faire un premier pas, Echapper à tout ça, c'est chercher la lumière. Attendant des miracles, amour en nostalgie, Et des autres amourettes, sanglots de jalousie, Entendant sa voix qui l'appelle doucement De l'autre côté de ce mur exactement. - Mais au deçà, il y a un soleil de la vie, Des lèvres qui murmurent, lèvres assoiffées d'envie, Elle a beau le cacher, l'anonyme le ressent. Résistance emplissant, de frissons de désir, Elle ne peut pas baisser les yeux aux sentiments, Et la peur l'affaiblit, son mal y prend plaisir. MAXUS RENAISSANCE Lorsque je me ranime, mon cœur est triste et las; Regardant la nature, elle qui m'a donné; Communique lenteur, j'écoute et je suis là, Je perçois un bruit sourd, loin tu as résonné. Ô le bruit doux, hélas ! ô le bruit mystérieux; Tu as longé le monde, nul ne t'a écouté; Sans comprendre on t'oublie, nous Hommes trop anxieux, On s'enfuit maintenant sans avoir écouté. - Mais je persiste à la quête de la borée Qui va m'offrir joie et sérénité uniques, Eventant une merveilleuse destinée. Espérances grandioses, renouveaux magnifiques, Toi, non plus l'alizé, mais toi ce que j'admire, Je ne peux t'omettre, dans mes odyssées lointaines. MAXUS Infinie Je suis ici et là, dans le fond de l'abîme, Mon cœur a espéré, et toujours il s'abîme, Mon cœur vit doucement, il recherche le choix, Aimé souvenir, j'attends le son de ta voix. Je suis si las, que j'oublie de te parler, Je suis tellement seul, je ne sais rassembler, Pensée ainsi lointaine, éventant ton sourire, Tu éveilles ma flamme, ma vie sait sitôt grandir. Mon âme a maintenant, ton regard si précieux, Mon histoire a trouvé, un savoir véritable, Mon histoire a trouvé, des jours merveilleux. Un aussi long bonheur, d'un jour aussi aimable, Ils passent tendrement et si rapidement, L'infini est comblé, enfin parfaitement. MAXUS
SouvenirL’été est parti Toi belle est la rose Aux Océans des mers Coulent à flot Oh ! larme de mon corps Pourquoi ne cesses-tu point ? Pourquoi envahis-tu mon cœur ? Oh larme veux-tu me donner du chagrin ! Nul ne peut comprendre mon malheur Mais toi seule tu comprends mon bonheur. MAXUS Jamais sans toi De la nature s’échappe un nuage De la nature tous êtres se courbent A toi reine des temps A toi reine de nos souvenirs Tu sais tant parler à nos cœurs Rien ne peut ternir nos pensées Belle tu t’ancres dans nos corps Comme pour juin l’est de décembre ! Tu laisses à nos vies des moments A ne jamais s’envoler. MAXUS Souvenir Je me souviens encor De ta démarche merveilleuse Sur ce chemin ; où à l'aurore Je te rencontrais d'un pas décidé, De te faire découvrir que : Mon âme en a décidé. Nous partions dans une vie inconnue Tout d'eux, pleins d'espoir De réussir notre avenir : ensemble, Dans la confiance de croire. Nous nous aimons : mais aimable Ressentiment d'une vie nouvelle. La beauté n'est rien, la grâce est sûre, Important, dans cette vie. MAXUS La danseuse Elle danse, elle tourne Sans arrêt sur la piste, Elle montre sa souplesse En grand écart Et en sautillant avec finesse Et parcourt la scène en moins d'un quart. MAXUS Homme trop anxieux Il est pris par orgueil Son savoir, sa connaissance le méprend, Il estime sa fierté de vivre Et n'affiche aucun mépris Il nous confesse son bonheur Mais en fait, notre malheur On voudrait ne point voir Sa faiblesse pour les penchants envieux Il ne montre que l'extérieur Cette façade si amère et si laide Mais il n'est rien, rien d'autre que de la chair Marchant, certes, mais sans but On voudrait tant qu'il se relève Mais il s'affaisse et retombe dans la décadence Il retombe plus bas que bas Ne laissant ni joie ni vie, mais mort. Espérance morbide relève mon âme Elle sait à quel plaisir s'occuper A nous approcher d'un service éternel. MAXUS PARTIR Te voilà si loin De mon cœur Plus je ne t'entends Plus tu es si loin de mon cœur Oh ! mal, qu'il prend plaisir Mon cœur pleur et il ne peut comprendre Pourquoi ton silence ! Je meurs d'inquiétude Mon cœur est dépourvu Il ne parle plus Il ne peut que contempler ton beau visage Peu de mots, mais beaucoup d'espoir L'attente est dans nos cœurs Parle, parle, le mal en prend plaisir Plus encor que de querelles Mais sauverai l'attente de cœur Et saurais taire les Océans. MAXUS
MAXUS
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